Rencontre des ''tout-ce-que-vous-voulez'' ano-nymes

À mon tour alors, je me nomme Lyticia, depuis près de trois ans, je fais des crises d'hyperphagie, mais avant cet été, je ne le savais pas. Puisqu'à cette saison, les simples complexes furtifs qui me mettaient mal à l'aise ce sont tranformé en convictions et en sont devenus maladif, j'ai commencer les laxatif, les purgations et les jeûne. Tout allait bien, mais quand l'ont c'est mis à me faire la critique sur mes habitudes alimentaire trop restrictive, j'ai paniqué que l'on me découvre et je me suis mise à faire des crises de boulimie suivit de purgation intense ou de sport.

Depuis toujours je m'interesse à la danse classique, mais je ne sais pas trop pourquoi, depuis que je suis dans ce tourbillion je fais une fixation sur cet art, je vais même me mettre à la pratique bientôt. J'ai creuser un peu et j'ai trouver, enfin je pense, je crois que c'est parce que pour réussir pleinement cette danse, je devrais me dépasser, affiné ma taille et mes muscles, je suis tellement déterminé à danser que j'ai l'impression que je le serai tout autant dans mes restrictions.
J'ai envie de m'en sortir, mais je n'en ai pas le courage, la force et le poid. Oui le poid, je me dit qu'à un certain poid je pourrais entreprendre des démarches. J'attend quelque chose de la vie, le contrôle parfait, les évanouissements et l'hospitalition, je veux que l'on m'oblige, que l'on m'isole...je veux que l'on me m'humilie..
C'est choquant je sais, ce l'est tout autant pour moi, j'ai honte de penser ainsi, je m'en veux! Mais si je le pouvais je changerais cet état d'esprit, mais je n'en suis pas capable.
J'aimerais aidé tout le monde, mais j'aimerais mourir des TCA's, je ne sais pas pourquoi.

Je suis désolée, mon message est un peu hypocrite je trouve, mais c'est moi, la "vraie" moi.

Rien de très joyeux ici. Alors à moi.

Mon nom est Andréanne. Mon processus vers la prise de conscience de mon problème a été très long. À ce que je me souvienne, j'ai toujours eu un probleme. Lorsque j'étais encore enfant je mangeais énormément. Les commentaires de ma mère me rappellait souvent combien j'étais grosse par rapport aux autres. Elle m'a mis au régime très jeune. Vers 8 ans la première fois. Je mangeais déjà pour combler le manque d'amour de sa part.... De plus, mon père, qui était pour sa part un très bon père, était alcoolique. J'ai donc manqué d'amour de la part de mes deux parents. J'ai grandi en étant ronde. En fait plus que ronde. On ne me trouvait plus rien à me mettre sur le dos lorsque j'étais en secondaire 1 et 2. J'étais très malheureuse et je reliais tous mes problèmes à mon poids. C'est alors que je me suis mise au régime draconien. Je ne mangeais plus. Je faisais du sport... et j'ai fondu à vue d'oeil. En quelques mois j'ai perdu 50 lbs. Tout le monde me félicitait. On me voyait enfin. On me complimentait. Je pensais que le bonheur allait enfin arriver. Malheureusement, ma mère était toujours aussi absente et mon père toujours aussi malade... tout le temps soul. J'ai commencé à comprendre que maintenant qu'on me trouvait belle, je pouvais retirer de l'affection des garcons. Sans aller jusqu'à coucher avec eux. J'aimais charmer, mais j'avais peur de m'engager amoureusement. Jusqu'au jour où je suis tombée completement amoureuse d'un gars. à 17 ans. L'Amour fou... c'est le cas de le dire. Sans lui je ne respirais plus. Je faisais des crises d'angoisse, de l'insomnie. Mon père m'avait foutu à la porte un soir qu'il était complètement soul. Ma mère n'étant vraiment pas maternelle... ma seule bouée c'était lui. Quelle histoire! J'ai du consulter pour me sortir de la. C'est comme si j'avais subi un lavage de cerveau. Je pensais que je ne pouvais plus vivre par moi meme. J'ai donc consulté une psychologue pour mes problèmes de dépendance affective au cégep. Encore à cette époque, je croyais que pour etre heureuse je devais maigrir. Mais évidemment, tout le poids que j'avais perdu lorsque j'avais 15 ans, je l'avais repris.. puis perdu.. puis repris... Les périodes d'hyperphagie succédaient aux périodes de régime draconnien.
Il y a deux ans, j'ai rencontré un autre garcon. J'avais de l'affection pour lui. Il était très attentionné. Et j'ai décidé de lui faire confiance. On formait un couple . Mais dans ma tete je n'étais pas capable de m'engager. En fait, je ne me suis jamais laissé aller en amour depuis mon premier chum. Bref, encore une fois, j'ai utilisé un gars qui m'aimait comme bouée. Je croyais qu'avec qqn dans ma vie je pourrais réussir à régler mon problème de boulimie. J'ai décidé de manger normalement... ca a fonctionné pendant quelques mois. Progressivement, lentement, j'ai perdu du poids. Mais je ne me pesais plus. Et je suis tombée malade. Probleme de foie. Wow je maigrissais !!! Mais lorsque la santé est revenue ... j'ai repris le poids perdu.. donc cet été.
Depuis l'automne, je m'étais mis en tete de perdre du poids.. en faisait du sport.... mais ca a vite dégénéré. J'en faisais tous les jours... mais avec les études, rapidement je n'ai plus été capable de suivre le rythme. Pour compenser j'ai coupé la nourriture... et ce qui devait arriver, arriva! Tadam. Les crises ont recommencé.
Alors c'est là que j'en suis rendue. Mon copin n'est plus dans ma vie et c'est le seul qui était au courant. J'en ai parlé à ma mère mais elle ne me pose pas de question.... J'ai conscience que j'ai un probleme. Autant de dépendance face à la nourriture que de dépendance affective. Je m'accroche très rapidement aux garcons parce que j'ai peur de vivre par moi meme. Depuis le mois d'octobre, je me sens très seule puisque je suis célibataire par choix et par nécessité. En plus, je tente de dealer avec mon hyperphagie. Les dernières semaines ont été très difficiles. J'essaie de garder le sourire, mais m'écouter je passerais mes journées dans mon lit à pleurer à l'abris du regard des autres. J'essaie de consulter.. mais ce n'est vraiment pas évident d'avoir un rendez vous quelque part.

Voila.

Moi cest sophie. D'Ailleurs je salue les miss qui se sont ouverte avant moi: sarah, lyticia, andreanne.
Alors, moi sophie. J'ai eu 20 ans il ya quelques jours a peine. Cette année, je "fete" également mes 6 années de TCA. Le début, la restriction "joyeuse", celle qui, par insouciance, fait vivre des heures de "gloire", d'invulnérabilité.
Puis, la boulimie, avec toutes ses composantes... je méritais moi aussi detre dégueulasse, mais j'voulais aussi me punir: alors les compensations, j'pense que je les ai pas mal toutes incorporées aux "régimes" de vis sophistiquées: vomissements, laxatifs, jeune, exercice, diurétiques, pilules pour maigrir... vraiment, je prenais ma santé bien au sérieux.
Puis, il y a eu le début des hospit... la ronde. LA bas j'ai vécu mes pires moments comme mes moments les plus sereins.
LE probléme, je crois, cest ma difficulté a "gere" mon angoisse... j'veux rapidement la faire diminuer... l'angoisse qui pogne dans les moments les plus inoportun, qui paralysent, qui rend inapte a pas mal tout. Pour vivre "mieux", j'me restreins... j'coupe avec la bouffe, pour couper avec mes angoisses. J'coupe avec la bouffe, et j'deviens plus fonctionnelle, moins up and downs... mais j'finis par cracher pis m'écraser ben sure sur le plancher...
J'ai pas de solutions encore miracles. Stan, ma tite partie (tite étant une grande ironie) malade s'accroche encore...et elle sait pas ou me prendre.
J'ai de la difficulté a accepter... d'etre. Alors, je me critique pour mon poids. Tiens, je ne veux pas etre, sans ne pas être, alors, tu es trop grosse ma vieille. A l'hopital, tu as pris beaucoup trop de poids. Maigris... mais tu va en etre incapable.. tu ne perds jamais vraiment de poids. Tu ne peux jamais t'enfoncer dans la maigreur... alors reste a coté de la plaque... mais en t'accrochant a celle-ci. Pas tres glorieux.
J'ai quand meme changé beaucoup de choses avec les thérapies: je ne retournerai jamais en arriere... ah, ca non! J'préfere etre c eque je suis aujourd'hui, meme si je l'accepte pas en totalité, que revtournée en arriere me détester au point de... en tout cas, beaucoup trop.

Voila.

Je suis une grande gueule, j'aime parler. ma passion cest le théatre et les arts. Ca m'aide a me sortir de moi: ca exploite chque fois une partie de moi que je ne laisserais pas surgire autrement... alors ca fait du bien. j'oublie le spleen, la douleur et l'angoisse.

Je ne sais pas pourquoi aujourd,hui, je vis encore de l'angoisse comme ca. On m'a diagnostiqué plusieurs fois, mais les derniers diagnostiques sont l'anorexie, la potomanie (eh oui, j'bois mes émotions, selon la nutritionniste... ca fait pisser en sil vous plait!) un trouble anxieux généralisé et une maladie bipolaire. Cest pas pire, une 4 pour un... ca fait surtout beucoup de pilules et un lourd sentiment d'etre un peu crazy... un peu felé.. mais bon, comme j'dis souvent, tous les génies on t été considerer comme fou: alors moi j'commence par la folie, j'vas peut'et atteindre le génie un jour!

Bizou a tous!

allo alors moi c'est claudia, j'ai 19 ans et toute mes dents. Depuis 1 ans et quelques mois je suis dans la boulimie.
Pour moi ça consite à manger assez normalement la plupart du temps exepté les aliments qu'on pourrait appeler aliment plaisirs. Dès qu'un évènement stressant, malheureux et même heureux arrive, je me lance dans la bouffe les 2 pieds joints. Je culpabilise et je me dis que tant qu' à craquer, craquons pour quelque chose. Et je perds les pédales et je dévore tout ce que je ne mange pas habituellement, jusqu'à ce que j'aille mal au coeur, et après c'est dans la toilette. Et je culpabilise d'avoir craquer.

Le début de ceci coincide assez étrangement avec l'arrivée de mon chum dans ma vie. En fait, 2 ans avant que jle rencontre, j'ai perdu relativement beaucoup de poids. J'étais pas obèse, mais assez batie, sportive, et tellement mal dans ma peau. Dans ma tête la clef du succès était dans la minceur. Je rêvais d'être mince et que tout le monde me trouve belle et surtout d'avoir un copain.
Donc une fois que j'ai perdu ce poid en trop, seulement en coupant un peu et en fesant beaucoup de sport; on s 'est mis à me regarder, j'étais moins gênée et j'avais plus confiance en moi. Et j'entrais à ce moment au cegep.
Pendant les 2 années qui ont suivie, j'ai joué pas mal au yoyo, sans jamais toutefois revenir à mon plus haut poids. Je me suis mise à devenir obsedée par mon poids. Je m'étais tellement sentie bien lorsque j'avais réussie à tout perdre, je voulais rester la. Mais puisque j'ai toujours mangé mes émotions depuis le début du secondaire, ça devenait un peu confictuel. J'ai passé par des périodes parsemés de gros hauts et d'énormes bas. Je négligeais mes amies qui se demandaient ce que je devenait. Mais la seule personne que je dégoûtais le plus à ce moment était seulement moi-même.

Seulement, lorsque ma relation avec mon chum,(qui était ma première vraie) a commencé, dans ma tête je ne pouvais plus reprendre du poids puisque celui-ci m'avait trouvé de son goût à un certain poids. Et la peur intense d'engraisser me hantait. Et finalement un jour alors que j'y songeais depuis un bout de temps sans toute fois en avoir le courage si on peut dire ça comme ça, je me suis faite vomir.

À partir de ce moment je n'avais aucune idée dans quoi je m'embarquais. Dans ma tête c'était l'idée du siècle pour me permettre de m'empiffrer comme je le voulais, et ne pas engraisser.
Et plus le temps passait et plus mon moral chutait. Je le savais que c'était mal, mais j'étais convaincue que je saurais cesser lorsque je le voudrais. Mais c'était tellement faux. Je mangeais sans jamais remplir ce vide, cet énorme vide que je ne savais pas d'où il venait. J'avais un chum et j'étais tellement triste et seule.
Et l'enfer à commencé. Je pleurais sans arrêt lorsque mon chum me touchait, je m'empiffrait dès qu'il s'en allait, mes notes ont chutées, le froid était toujours présent dans mon corps, j'étais tout le temps faible, alors qu'avant je fesais plein de sports. j'avais toujours les larmes au yeux à l'école, je ne pensais qu'à ce que je pourrais manger dès que tout le monde allait quitter la maison. Je ne gardais aucun repas sauf le déjeuner et c'était tout renvoyer dans la toilette. J'engeulais ma famille, je piquais des colères et je devenais hystérique. Mais à l'école je m'efforçais que rien ne parraisse. Sourire, toujours sourire, dire que tout allait bien, faire comme si de rien n'y était. J'étais bonne pour ça. Et mon chum qui se demandait ce qui se passait, mais ne me lâchait pas. Il était fou que je me disais.

Bref j'ai fini par le lui dire, et il m'a grandement soutenu et aider dans mes démarches. Peu à peu je l'ai dit à quelques personnes, en me délivrant un peu à chaque fois. J'ai terminé ma session avec un echec sur le dos, mais enfin j'allais pouvoir chercher de l'aide pour vrai. Après avoir fait plusieurs endroits, j'ai atterie à l'éclaircie vers le milieu de l'été. Ce n'était pas vraiment ce que j'avais besoin, et il n'y avait aucun groupe d'aide qui débutait à ce moment. Je sais pas pourquoi mais j'étais pas à l'aise la. Du tout. Je me sentais trop libre, alors que j'aurais voulu qu'on me dise ce quil fallait faire, je voulais être prise en main. Mais je suis toute de même allée au groupe nutritionnel 2 fois, mais à chaque fois ça ne fesait que me donner des maux de ventre tellement ça me stressait. J'y ai même rencontré une fille que j'avais connue au primaire et pendant le secondaire, et on s'est même pas parler et ça m'a mit mal à l'aise, surtout lorsque je me suis apperçue qu'elle allait au même cegep que moi. C'était comme si mes problèmes personnels me suivaient à l'école, alors un jour mon chum m'a dit: ta le choix tes pas obliger d'y aller, sauf que si tu y vas pas cette fois, il faut que tu le dises à ta mère à la place. Finalement par mégarde ma mère l'a su avant que je ne lui dise, et c'est finalement à cause d' elle si j'ai obtenu de l'aide.

et maintenant ça va mieux je dirais pt. bcq moins de crise qu'avant. cest même pas comparable. mais maigrir, cest à ça que je pense tout le temps. avec ça j'ai reperdu toute la confiance que j'ai pu avoir en moi. la jme sens rien. vide. j'ai peur de continuer à vieillir. 20 ans. lhorreur. alors que je n'ai rien accompli. les responsabilités, le travail, le vraie vie, jveux tellement pas être rendue la. j'ai jamais réussi à vivre ma jeunesse pcq j'étais tellement mal avec moi, jveux pas déja être devenue une adulte. jvoudrais tellement arrêter le temps..

menfin. j'ai encore écrit un message. jsuis jamais capable de résumer jlai déja dit. je parle jamais de moi dans la vraie vie, mais quand j'ai loccasion, jme laisse aller, et la jme sens égocentrique de raconter ma petite vie plate, comme si c'était un roman palpitant.
oups dsl

C'est pas une ptite vie platte.. c'est la vie que plusieurs vivent... que je vis.. et tu l'as très bien traduit !!!

ok, ok.


...la tornade, la mauvais caractère, la difficile, l'explosive, l'impulsive

...la spontanée, la réfléchie, la drôle la douce, la patiente, l'obstinée.

et ce mélange qui ne se mélange pas, ben c'est moi!

j'ai 23 ans, 28 dents, et un bain à faire rêver n'importe qui dans la maison. et quand je suis gênée, je détourne le sujet, ou je déblatère sur n'importe quoi. comme présentement...;)

Depuis que j'ai...14 ans c'est une évidence pour moi que quelque chose ne tourne pas rond, quoi comment où, les réponses sont venues plus tard, parce que ça a tellement commencé doucement, que ça a pris des années, avant que j'allume vers 16 ou 17 ans Au début, j'étais difficile, puis végétarienne, puis abandonnée par mon copain de l'époque...

Je suis anorexique. Je désteste ce mot, mais je n'ai pas pris ces comportements dans les arbres, ma mère ayant un obscur et surtout non avoué trouble alimentaire, elle y est toujours d'ailleurs, plus ou moins périodiquement, essayant tout aussi périodiquement de m'entraîner avec elle, par ses commentaires toujours judicieux (ironique) et bien placés (pour faire quelqu'un filer cheap).

Voilà, alors je dois composer avec ma maladie, et celle de quelqu'un d'autre qui m'est proche et ce n'est pas toujours évident...

Je ne suis jamais passée outre la restriction, enfin je crois. C'est une de mes phobies, de ne plus contrôler. Alors j'ai toujours évité de faire de l'épicerie en trop, ou encore qui pourrait être "plaisir". C'est moche quand on y pense et maintenant, je panique dès que mon chum veut acheter des Jos Louis...:(

Plusieurs personnes autour de moi très proches ignorent tout, ou se mettent la tête dans le sable, je ne sais pas trop. D'aucun pense que je baigne encore là dedans, et qu'il y a longtemps que c'est de l'histoire ancienne.

Quelque part, ça fait mon affaire, autant je suis extrovertie, autant je déteste parler de moi-même, et encore plus avoir l'impression que je me mets en position de faiblesse. On pense donc de façon généralisée que je ne mange pas beaucoup, et personne se pose de questions...et je ne me fais pas nécessairement un devoir d'éclaircir la chose.

...

Voilà, entre le travail, mon deuxième bacc que je termine, ma passion pour le plein air, j'ai tendance à balayer le problème sous le tapis et de me dire "bof, quand je serai vieille pour juste me bercer, on pensera à ça..."... -2222-

SAlut tlm
Je suis venu ici pour trouver des gens comme moi… je ressens le besoin de voir que je ne suis pas seule à penser comme ca parce que depuis quelques mois apres le début de mes TCA j’ai eu plusieurs discussions avec ma mère à ce sujet. Elle ne comprend pas. Ca finit toujours par des disputes. C’est plus qu’arrêter de manger..cest psychologique…

C’est peut-être long à lire sur le net les témoignages de tout le monde, mais ça vaut le coup alors a mon tour..
Je m’appelle Martine et j’ai 16 ans. J’aime la nourriture au point de la détester depuis que je suis toute petite. Lorsque j’avais environ 7 ans j’ai commencé à manger de plus en plus. J’entendais des commentaires blessants sur moi. Je voyais des belles filles dans les revues. Je voulais être comme ça, je n’arrêtais pas d’y penser. A chaque jour j’essayais de ne pas manger de sucrerie ou de ne pas manger du tout même, mais je finissais tjrs par succomber. Un jour ça a fonctionné, javais 12 ans. J’avais enfin atteint mon but. Pendant un mois jai perdu une dizaine de livre tout était super. Ma mère était fière et je me récompensait en achetant des nouveaux vêtements. Les 6 mois suivants c’était une grosse période d’anorexie…j’aime pas ce mot la et je ne men suis pas rendu compte tout de suite..j’en étais pas une moi ca se pouvais pas..en tk je n’avais plus de plaisir avec mes amies. Je les regardais manger du chocolat et des chips sans grossir d’une miette. Moi je comptais et recomptais mes calories. Il est surtout pas question que je mange une gomme même sans sucre ! Je regardais des revues d’alimentation saine et ma mère ne savait plus quoi faire pour m’aider fac elle les cachait. Un jour, l’école a téléphoné a la maison pour demander si j’avais une maladie pcq j’avais l’air malade presque pu de cheveux et toute maigre comme une échalote avec des jambes!. Je devais voir l’infirmière elle ma posé des questions et ma confirmé que j’étais anorexique. Je m’en étais rendu compte depuis qques semaines même si je ne me trouvais pas mince. J’étais normale, je ne voulais pas me l’avouer. Je n’étais pu capable d’endurer la pression et les commentaires de mon entourage. Je me suis mis à manger. Manger 7 ou 8 bols de céréales par jour en cachette avec des noix et plein de choses engraissantes dedans, en plus de mes repas normaux. J’ai engraissé . mais ca na pas duré. Je suis devenu boulimique . mais comme quand jétais petite je vomissais pcq je mangeais trop, je n’étais pas capable de me faire vomir…c’étais signe de maladie et de torture. Je fesais de l’exercice a toute heure. Jai réalisé que quand je fait de l’exercice intense ca me fait vomir. Comme je n’étais pas capable de le faire en avant du bol de toilette sans raison, je fesais de l’exercice et en plus ca me faisais vomir! Jackpot! Depuis ca je fais des crises d’hyperphagie et de boulimie. Mais présentement je n’ai pas le courage de recommencer à être ano, avec tout les effets que ca amène, il faut être prête. Je ne me suis presque jamais senti bien dans ma peau. Encore moins ajd avec mon surplus de poids.

Contente de pouvoir enfin te connaitre un peu plus!! Je n'ai pas participé a ce sujet car je ne sais tout simplement pas quoi dire!

bisoux!

Allo les filles je vous ai toutes lues. Ouf c'est mes mots que vous utilisez et mon histoire que vous racontez.

Je m'appelle Christiane. J'ai 35 ans, mariée, enfant, tout le matériel et le confort... Mais rien ne comble le vide que j'ai en moi.

Mal aimé de ses deux parents, orpheline pour de vrai depuis longtemps, j'ai cependant une mauvaise maladie qui fait grossir. L'hypothyroïdie. Au rythme des hormones je grossis ou maigris facilement. Ce qui augmente mon trouble alimentaire car j'ai la phobie de grossir rapidement sans pouvoir rien faire d'autre que jeuner.

Je mange peu pourtant je suis grosse. Je jeune presque et fait beaucoup d'exercices. Je ne garde pas tous mes repas. Je ne veux pas devenir obèse morbide.... J'ai tellement peur!

Je garde espoir de pouvoir trouver un poid stable, un poid ou je pourrai manger à ma faim. En attendant je souhaite un contrôle parfait sur mon alimentation pour que lorsque ma glande se dérèglera encore une fois je n'ai pas à reperdre 90 livres.

Je ne veux plus jamais être grosse, si je réussi à maigrir encore à un poid que je juge acceptable je jure d'en finir là. Bon ça semble très négatif mais j'ai un petit garçon un rayon de soleil qui éclaire ma vie et fait que je m'y accroche. Merci Philippe!

Myrtilles

oki alors je vais essayer de me lancer et de pas rendre ca trop plate....

Bon moi c chantal, 20 ans, nombre de dents ben heu.... je sais pas mais en t-k une de trop!! Je suis rendu dans un coin eloigné de vous tous, c'est a dire Ottawa. Malgré tout j'adore cette ville et c'est ici que je me sens le plus heureuse... Les enfants me rendent heureuse et me font oublier ma souffrance! J'adore lire mais je ne prends plus le temps de le faire. J'adore egalement l'equitation, mais a cause de mon dos je ne peux plus en faire! J'ai aussi une passion pour la gymnastique!

Je suis non classée depuis je ne sais plus trop genre 7 ans! Je ne suis pas classifiable mais Ana a ete ma meilleure amie pendant au moins 5 ans de ma vie. Maintenant la boulimie la remplace tout doucement... Depuis 2 ans je tente de m'en sortir reellement, mais mes tentatives me desepere a chaque fois. J'ai un mode de vie bien bizarre, je suis de plus en plus un oiseau de nuit! Je suis une addicte du cafe! Mon resto preferé est le Tim Horton ( timmies dans mon langage) !! J'ai d'ailleurs rempli une demande d'emploi la ce soir!! lol Je sais que je suis folle mais coudonc, faut bien arrondir ses fins de mois. J'aime le contact avec les gens alors pkoi ne pas essayer? lol Ca va me donner une occasion de parler en anglais!

Bon la, je ne sais plus trop quoi dire alors ca, c'etait un petit bout de moi!

be-bye!

haha!! lol je suis justement en train de faire des bloggo avec un amie avec mcdo et timmies!! lol si ca marche je vais les mettre sur le site c trop drole!

Ca fait vraiment bizarre de lire mon nom héhé. Ca touche de voir que mon histoire peut ressembler à quelqu'un d'autre... que je ne suis pas seule à vivre la même chose. Mais crois moi Melany. Tu mérites d'aller mieux! Comme nous toutes! Prends soin de toi ma belle xxxx

salut les filles, mon tour rapidement.Sophie (moi aussi !!) 23 ans, étudiante en droit, compulsive de nourriture "santé" uniquement. Je peux manger tout un chou vert d'un coup ou 3 cantaloups... sans farce. En fait, tout ce qui est gras me dégoute mais je n'ai pas de limite pour les fruits - sauf quand je me roule part terre de douleur.

mes compulsions ont débutés vers mes 12 ans mais j'ai limité ce que je mange dès la 3e primaire. Phase anorexique à 12 ans 1/2, suivie de boulimie pendant quelque temps, avec à mon grand scandal trop peu de facilité à me purger. Poids santé/élevé pendant une partie de l'adolescence. deuxième phase anorexique à 18 ans. Suivie de boulimie et d'un retour chez mes parents (après 8 mois en appart en couple) où j'ai repris plein de poids.

Voyage au Maroc il y a 2 ans où je me suis dénichée un amoureux et où j'ai connu le bonheur d'être en harmonie avec moi-même pdt 3 mois. perte de poids euphorique par contre qui frise peut-être un peu le tca... Retour à la maison, panique des parents qui me disent (pour la 1e fois ) anorexique et consultent à l'aneb. Reprise de mes compulsions et du poids qui va avec. Retour des maux de ventre constants à trop me remplir l'estomac pour plaire à mes parents. Trsitesse et faible estime de moi, je vois le rejet partout...

salut les filles,
je me lance aussi tant qu'a faire....

mon nom est isabelle j'ai 27 ans et je suis ano-boulimique depuis maintenant trop longtemps (j'ai commencer vers 12 ans...) j'ai eu une période anorexique vers 15 ans ou j'ai perdu beaucoup de poids et qui m'a rendu contrôlante au boutte... ensuite j'ai rencontrer un gars avec qui j'ai sorti très longtemps et j'ai commencer la boulimie... puis ensuite ano.. et boulimique... et la roue tourne....

J'ai parfois l'impression que je m'en sortirai jamais tellement j'en peut pu... j'suis ben ben tannée...j'ai hate de vivre....