vivre seule vs colocation

Salut,
je me demandais, surtout pour celles qui ont vecu les 2... apres avoir vécu chez vos parents, et ensuite en appartement, qu'est-ce qui a ete le plus bénéfique pour vous par rapport à vos tca...

pcq je me demandais ca tantot, apres avoir dérapé, je me disais "si mes parents n'etaient pas la..." mais apres j'en suis venue à la conclusion que si j'etais seule en appart, je n'aurais pas toute cette nourriture chez-moi, je n'aurais pas de tartes, de biscuits, de brownies.. donc je déraperais moins souvent...

alors à vous; vécu ou pas, qu'en pensez-vous??

bonne question .
C'est clair que de controler la nourriture qu'on achète c'est bien pour éviter l'excès mais ca peut facilement engendrer un autre problème ; le jeune .
La solitude ... hum ... c'est la liberté , a toi de deviner ce que tu saurais faire de cette liberté .

moi ben j'ai cette impression que mes parents-frère-soeur ne m'aide pas vraiment dans mes tcs. oui je fais mes crises lorsqu'ils quittent, mais je me sens si étouffée chez moi, si..... j'ai pas de mots... cette partie est assez complexe....

mais bref dans mon cas je prend plaisir à penser que men aller, voler de mes propres ailes, ne me serrait que bénéfique

la réponse à cette question est variable pour chacune...

...moi je suis partie de mes parents à une certaine époque, ça a été bénéfique.

J'y suis revenue un peu plus tard, et ça a aussi été très bénéfique.

Ça dépend de beaucoup de chose: ta relation avec tes parents (sont-ils aidants?), l'environnement dans lequel tu vis, l'environnement dans lequel tu vivras si tu t'en vas, si tu es capable de subvenir à tes besoins financiers sans compromettre tes études, ta santé...

...et puis...je crois que la décision va au delà de ce que tu pourrais faire alimentairement ou pas en présence ou en l'absence de tes parents...si ton angoisse concerne surtout ce qu'il y a dans le frigo, tu crois que c'est possible d'en parler avec eux?

Je ne l'ai jamais vécu, mais ça s'en vient! en attendant je ne peux pas contrôler ce que mes parents mettent dans le frigo et bien sûr ça veux dire que je ne peux pas me contrôler moi-même...pour l'instant c'est ce que ça signifie pour moi de le vivre avec ma famille. Avec moi c'est tout ou rien. Soit je me gave ou bien je me prive et la tout le monde le remarque et ça fait bcp de conflits. Je ne sais pas si il y aurait moins de chicane si je ne resterais pas dans la maison, ils verraient que je change physiquement mais au moins ils n'examineraient pas mon assiette à chaque repas. Pcq sincèrement ça ne m'aide pas quand ils sont la à regarder ce que je mange mais il y a un avantage..quand ça ne va pas bien nos parents sont la pour nous encourager, nous redonner espoir et pour nous dire qu'il y a des gens pour qui on n'est pas la plus belle mais que pour d'autres c'est tout le contraire.

P'tite Mamzelle a écrit: Mais la chose que j'ai réalisé c'est qu'importe ou je serais, je ne serais jamais mieux, la place change pas grand chose, c'est toi qui doit changer, totalement vrai

Voilà , a mon avis , LA chose a retenir -4444-

Salut les filles,
Je me demandais s'il y a entre vous qui habitent seules? Vous voyez, il y a longtemps que je me dis que je devrais emménager avec une amie, trouver un colloc... et que ça pourrait drôlement m'aider pour les TCA. Je sais qu'il y en a parmi vous qui habitiez avec votre copain ou votre famille, et que ça n'aide pas vraiment les TCA pour autant... Mais j'aimerais bien que vous me répondiez et que vous me donniez votre opinion à ce sujet.
Je m'isole beaucoup et je suis sujette à vouloir péter des crises...
Je vous remercie les filles! Et Bonne journée à toutes!
~x0x0x0x0x0x0x~

moi je demeure en appart et g un coloc (ben g eu personne pendant 1 mois)...

personnelement ca ne m'aide pas par rapport au tca. mon horaire est tellement chargé que lorsque j'arrive le soir, il est facile de penser que g deja mangé en qqpart d'autre... et moi me faire demander si g mangé, ben perso ca me ferait peter une coche!!

ben...je crois que ça dépend pour chacune.

de mon côté, avoir quelqu'un avec moi, ça m'aide. parce que...je suis paresseuse, et je ne suis pas capable d'établir aucune structure. j'habite avec mon copain et ça met un horaire dans la cabane pour le dîner et le souper. donc ça oblige à avoir qqchose au frigo, puis mettre quelque chose sur la table midi et soir, à s'asseoir.

Il y a aussi quelque chose de social dans les repas qu'on ne retrouve pas quand on est tout seul: se raconter nos journées, discuter, rire. Je crois que pour certaine, ça peut être une motivation à rendre les repas moins pénibles. enfin pour moi, ça marche de focuser sur l'aspect social...

Évidemment, ça dépend du/des colocs et de la relation que tu as avec eux, si c'est des gens que tu connais pas...euh...fuck it hein!

...mais comme tu le mentionnes, ça peut aussi être sujet de discorde...c pas facile de laisser aller et ça demande une certaine confiance de s'asseoir en face des gens pour manger, ou pour les laisser prendre l'initiative de la cuisine sans s'ingérer...

lâche pas!

Je suis tout-à-fait d'accord avec Philomène! C'est tellement plus énergisant d'habiter avec quelqu'un et d'avoir de bons rapports.... Je crois que ça pourrait t'apporter un lot de bonheur ma chère!

Je vous remercie les filles!
Je m'isole tellement que je pense évidemment qu'avoir quelqu'un chez moi m'aiderait énormément, sur le moral comme sur mon trouble alimentaire. Je réalise que lorsque j'ai des crises, c'est assez souvent par solitude... Même quand je suis chez mes parents, ils sont la, mais je me sens tellement seule avec moi-même... Grrrr!
Voir le repas comme quelque chose de plaisant... ou du moins, pas comme quelque chose d'obsessif...
Je vous embrasse fort fort et bonne soirée!
°x0x0x0x°

Bonjour 7up!!

Je me permets d'ajouter mon petit grain de sel. Dans mon cas, j'ai toujours redouté la colocation parce que ca n'a jamais été rose mes histoires d'appartement. Seigneur que je suis difficile à vivre...!! Quand j'ai des moments difficiles dans mes tca je m'isole et je ne veux affronter personne. Du moins, c'était le cas avant puisque personne n'était au courant. Maintenant, c'est plus facile puisque mes colocs savent que je suis une thérapie. Et une de mes colocs est devenue une bonne amie à qui je m'ouvre parfois. Mais c'est pas toujours évident. Paradoxalement, j'ai en meme temps peur de la soliture. Autant des fois je voudrais m'isoler et que les filles disparraissent de chez moi, autant jai peur de passer une fin de semaine seule à l'appartement. J'ai peur de moi, de craquer, de sauter dans le frigo. Cet été j'ai décidé de me trouver un emploi à montréal et d'y rester. Je serai seule à l'appart puisqu'une coloc nous quitte et que l'autre s'en va en voyage. C'est un beau défi. Ca m'effraie mais ca m'excite en meme temps. Si je réussissais à passer au travers.. je serais si fière de moi. Enfin, le meilleur conseil que je peux te donner c'est de suivre ton instinct et de répondre à tes besoins. Si la solitude te pèse, trouve toi qqn pour rester avec toi. Mais quelqu'un avec qui tu puisses partager tes problèmes afin que tu ne te sentes pas obligée de te cacher pour vivre ta vie!

Andréanne xxxx

Merci beaucoup Andreita! Oui en effet... la solitude me pèse énormément. Je pense que je devrai trouver prochainement une solution a mon problème... j'en ai tellement marre! Ce soir, j'aimerais tellement ça être avec quelqu'un...!
Je t"embrasse ma belle! Et je te souhiate également de la force, car en effet, c'est un beau défi que tu veux relever! Je sais que tu es capable!
x0x0x0x0x

Bons défis à vous 2 mes belles cocottes adorées 7up88 et Andreita!!!
Je crois en vous mes pitounes!

Chère 7up88,
Je vais te dire un truc: moi je vis seule en appartement. Oui, ça a ses bons côtés (je veux me coucher à l'heure qui me plaît, prendre ma douche/bain quand ça me tente, même s'il est 4h du mat, etc... euh... Me promener tout nu et courir en rond dans mon salon si le coeur m'en dit <-- chose que je ne fais pas, soit dit en passant! :)
MAIS, le fait de vivre en appartement apporte autant de "problèmes" TCAiens (ça se dit tu ça?!?! ;)) sinon plus que si je vivais avec quelqu'un... Mais d'un autre côté, je me dit dans mon fort intérieur: "J'suis trop pas du monde alors ya pas personne qui voudrait co-habiter avec une personne aussi déplaisante que moi!" Mmm...enfin, ça, ça reste à voir ;)

Si je peux te donner 1 seul conseil, c'est de vraiment réfléchir, pour pas faire la même erreur que moi...Pourquoi? Eh bien, tout simplement parce que depuis que je suis en appartement (et même maintenant avec mon déménagement dans mon nouvel appart) j'ai jamais eu AUTANT l'impression que je courrais tout droite à ma propre perte...

Bonne chance!
Petite Fleur

À mon tour maintenant... Mes premiers propos iront dans le sens de ceux de Philomène, c'est-à-dire que cela dépend réellement de chaque personne, du caractère, des envies, de l'étape dans ta vie, etc.

Pour ma part, j'ai autrefois vécu avec une coloc, au début de la vingtaine pendant trois ans. C'était le bonheur. Nous étions inséparables, et j'adorais toutes nos discussions jusqu'aux petites heures du matin et nos folies de jeunesse. Ensuite, j'ai pris un appart seule, puis un autre avec mon chum. Ensuite, de nouveau seule après la rupture dans un appart pendant trois ans, pour ensuite revenir en colocation, justement parce que j'avais envie d'être entourée davantage.

J'ai vécu les débuts et les pires moments de mon anorexie avec une copine, qui aujourd'hui ne l'est plus, principalement à cause des conséquences qu'a eues le trouble alimentaire sur ma personnalité. Ma coloc n'a tout simplement pas su comment réagir face à tout cela... Je crois qu'elle s'est sentie totalement impuissante et désemparée devant mon état, et que de me voir dépérir au quotidien était trop dur pour elle. Alors, elle a "cessé" d'être mon amie. Elle s'est énormément éloignée de moi (comme d'autres de mes soi-disant amis d'ailleurs), si bien qu'aujourd'hui je n'ai plus de nouvelles d'elle. Avant je lui en voulais beaucoup, mais maintenant, je comprends que ce n'est pas tout le monde qui sait comment s'y prendre devant quelqu'un qui vit un trouble alimentaire. Alors, je ne lui en veux plus.

Donc, cela a fait 1 an, le 8 mai dernier, que je demeure seule en appartement (j'habite au-dessous de chez ma soeur, et même là, on ne voit vraiment pas plus souvent!). Oui, c'est vrai qu'il y a des soirs où je ne détesterais pas jaser de tout et de rien avec quelqu'un, mais si cela survient, je prends le téléphone et appelle une amie. Je suis aussi beaucoup moins gênée qu'avant d'inviter les gens chez moi et de provoquer les activités quand naturellement je ressens l'envie de m'entourer. Qui ne risque rien, n'a rien...
Ainsi, avec la thérapie et le chemin vers le rétablissement, j'apprends à bien vivre ma solitude. Mon appart est devenu mon havre de paix. Le lieux de prédilection qui m'enveloppe de douceur après une journée de travail en plein Centre-ville. Je ne retournerais pas à la vie en colocation, mais encore là, ce choix est guidé par mes expériences passées, mon tempérament, mes besoins, etc. Personne n'a les mêmes. Tout ce que je souhaite est que tu prennes une décision qui te reflète.

Et puis, dis-toi une chose, si tu n'aimes pas le résultat, essaie de ne pas le considérer comme une erreur ou un échec, mais bien comme une expérience. Pour savoir ce qui te plaît le plus, tu dois essayer plusieurs options. Et puis, si ta situation change, ce ne sera pas pour l'éternité, si tu n'aimes pas cela. Normalement, ce genre d'engagement dure un an. Tu auras l'occasion de changer d'idée rendu-là, et tu seras surtout bien en droit de le faire! C'est de ton bonheur dont il s'agit, après tout!

Bonne journée puce,

Alazia

Je vais passer pour une sauvage mais je ne pense pas etre capable de vivre avec quelqu'un. J'ai besoin de mon petit sanctuaire pour m'isoler (je fais de la phobie sociale et je suis une personnalité évitante). Si je n'ai pas mon petit espace, je panique. Je serais une piètre coloc, je suis traineuse, (quoi que j'ai habité en coloc en studio ds une maison avec intervenant et c'est que ma chambre qui etait en desordre. Le gars faisait rien, je lavais les planchers, la salle de bain, ect, au moin sil faisait sa vaisselle) mon apart est un vrai bordel presentement mais je suis epuisé. J,en suis venu à ne pas aimer mon coloc pcq ca été chaud plusieurs fois pour les crises + vomissement, je n'avais pas le droit de manger dans ma chambre mais je mangeais et vomissait dans ma chambre. En appart, je m'isole beaucoup trop, je peux faire des crises quand je veux (Ce qui est mal) . Un colloc amènerais un ses amies et je paniquerais à cause de ma phobie sociale. J'ai de la difficulté à dire non.

La collocation me fait juste du stress suplementaire pcq je crise quand meme et je ne gardais rien quand meme. A cause de ma peur de manger devant les autres, je faisais des périodes de jeune aussi, ex. 5 jours sans manger pcq colloc toujours présent et les intervenantes tres fachée que je mange dans ma chambre.

Je viens de réaliser que je ne vous avais jamais répondu! Ou lala! Oups!
Merci beaucoup Alazia, Loulou et Petite Fleur!
Vous savez, j'y ai réfléchi, et je ne crois pas qu'avoir un coloc pourrait nécessairement m'aider et me plaire. Il m'arrive de faire des crises chez mes parents...alors!
Et puis, j'ai peur de me sentir envahie! Il faudrait que j'habite avec un ou une amie, mais j'ai peur que ça puisse nuire une amitié. Vous savez, il y a tellement de couples qui brisent lorsqu'ils font une tentative d'habiter ensemble... en tout cas!
Je vous remercie encore les demoiselles!
Un jour, je vais sûrement habiter avec quelqu'un, mais je ne crois pas que ça va être pour maintenant!
Bizous!
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P.S. Alazia, j'espère bien que tu retrouveras ton amie un jour... il y a un temps pour tout n'est-ce pas? Peut-être que ce n'est pas le moment et que ça viendra...enfin! Je ne sais pas comment tu vois ça de ton côté... Je n'en rajouterai pas plus pour ne pas m'égarer! Je t'embrasse ma chère et je pense à toi!

Argh je ne sais plus!
Il me semble que ça me ferait du bien par exemple me sortir de ma solitude... vivre ailleurs... changer un peu d'environnement...
C'est une décision pas mal tough hen...
Maudit!

J'ai besoin de vos conseils, de vos vécus...!

Je suis en colocation... J'ai passé l'été toute seule puisque ma coloc était en Afrique. Donc 3 mois à vivre avec moi-même, 3 mois à travailler sur moi paisiblement, 3 mois à appricier cette soliture. Son retour me trouble beaucoup. Surtout qu'elle n'est pas vraiment du genre discrète. J'ai vu mon nutritionniste hier et mon objectif de la semaine et de parler avec ma coloc de ma vision des choses. Ironie de la vie, lorsque je suis arrivée hier vers 10h30 pm elle sortait de la douche. Je croyais qu'elle s'en allait se coucher. Ca tombait bien parce que j'avais besoin de repos et de calme... La porte sonne. Un de ses amis arrivait... !! J'ai de la difficulté à vivre avec la présence de ma coloc. Je dois me réhabituer. Alors imaginez un inconnu dans ma maison. Je ne me sens vraiment pas à l'aise avec ca.

Je me demande vraiment quelle est la solution. Il est évident que je dois lui parler. Mais que peut-elle faire!? Arrêter d'inviter des gens ici? Cela serait extrême..! Pour moi, un appartement c'est une île déserte, une bulle. Un coin où j'invite des personnes que très rarement et toujours des personnes que j'aime particulièrement. J'ai besoin de ma solitude....

Déménager?? Seule!? C'est tellement cher à montréal.. Chercher une autre coloc!? Suis-je vraiment faite pour vivre avec quelqu'un? Est-ce que qqn arriverait bel et bien à répondre à mes besoins!?

Je me sentais si bien cet été. Enfin, un endroit où je me sentais chez moi, à l'abri... je suis vraiment bouleversée...!

Qu'en pensez vous?? Est-ce que vous vivez en colocation!? Est-ce que ca va bien?? Aimez vous la solitude!? Vous cherchez vous une coloc hahaha

Andreita

recette magique? il n'y en a pas, malheureusement.

...j'ai vécu avec beaucoup de colocs au fil du temps. avec certain, ça a marché numéro #1 avec d'autres, ça a marché #1 avec des rajustements, avec d'autres encore, ça n'a simplement jamais marché...

...je ne sais pas où tu te situes avec ta coloc, la connaissance qu'elle a de toi, de ton TCA...mais, je comprends ton besoin que ton chez toi soit en quelque sorte une "bulle de sécurité"...

...moi quand j'habitais avec des gens, on s'entendait pour se demander si ça embêtait quand il y avait du monde qui venait...sans "demander la permission" on se disait toujours genre "est-ce que ça t'embête mardi si tel personne vient" alors on avait tout à fait le loisir de répondre oui, j'ai un exam le lendemain...et la plupart du temps, si on répond "nonon, pas de problème" ça permet au moins d'être averti, ce qui diminue souvent le malaise, quand quelqu'un se pointait chez nous...

c'est un gros objectif de parler à ta coloc! mais je sais que tu es capable de le faire sachant que ça va éventuellement t'amener un peu plus de calme. si les choses ne changent pas du jour au lendemain, tu pourras au moins être fière de t'être exprimée et d'avoir mis des mots sur tes besoins.

je suis derrière toi ma belle Andréanne, je sais que c'est des situations pas évidentes, pour les avoir déjà vécues. mais quand tu l'auras fait, tu auras l'esprit aussi plus clair sur le futur de ta cohabitation...

plein de bonnes pensées pour toi!
t'es la meilleure!

Merci beaucoup... ca m'encourage!!

je suis d'accord avec philo... bisous

Moi de même Andrew! Tu sais que si tu réussis cet bel objectif qui s'offre à toi, tu auras atteint une autre étape. Prépares-toi en conséquence pour les éventuelles réponses p-ê... en tout cas, c'est ce que je ferais de mon côté... Tu sais que la culpabilité prend bcp de place parfois, donc soit éclairée et vive dans ton intervention. Mais crois-moi, tu fais ce qu'il faut faire! Et dis toi que ta coloc ne se gêne pas elle quand ça fait pas son affaire! Tu as mon appui!

Love ya!